caroline

Une fois n'est pas coutume les soums, je donne aujourd'hui la parole à l'un d'entre vous. N'allez pas croire que le fait de donner la parole vous donne le droit de vous exprimer. Seule moi décide si vous pouvez ou non vous exprimer. Il y a quelques temps, j'ai recruté le p'tit quinquin, un soumis du Nord, vous l'aurez compris si vous n'êtes pas trop débiles. Alors que je ne le connaissais pas, il a décidé de m'offrir de splendides Buffalos que je convoitais et j'ai voulu savoir pourquoi et voici ce qu'il m'a répondu...

Chère Déesse Caroline, c'est tout à fait par hasard que j'ai pu faire votre connaissance. Au fil des profils de dominas que j'ai consultés sur Facebook, je suis finalement tombé sur le vôtre. J'ai eu une sorte de déclic. J'ai regardé vos photos et j'ai eu l'impression que vous correspondiez à ce que je recherchais : une Femme, une vraie, charismatique, élégante et qui sait se faire obéir. Je vous ai lancé une invitation que vous avez acceptée.

Je n'ai pas vocation à être money slave, car malheureusement, je ne pourrais pas suivre sur le long terme, mais il est important pour moi de pouvoir faire plaisir à une Femme en signe d'admiration et de dévotion. Vous veniez de partager une page sur des Buffalos que vous convoitiez particulièrement. Je vous ai donc fait savoir que je voulais vous les offrir et je vous les ai finalement offertes.

Pourquoi ces Buffalos ? Pour plusieurs raisons, d'abord c'était l'article que vous sembliez désirer le plus à ce moment là et ensuite parce que je suis fétichiste. Ce cadeau s'imposait à lui-même.

Je sais que je n'aurais probablement jamais l'occasion de vous rencontrer, mais je me plais à vous imaginer les portant aux pieds, me piétinant avec, vous les léchant. Doux rêve, en vérité...

Je ne regrette absolument cet achat. Et si mes moyens sont indignes de vous, je m'efforcerai toujours de vous satisfaire.

Votre dévoué petit quinquin "qui aura du chagrin s'il ne vous voit juqu'à d'main"

J'apprécie particulièrement l'emballage et le petit mot qui ont accompagné l'achat. Prenez-en de la graine les soums... Quant à toi p'tit quiquin, ne te repose pas sur tes lauriers, j'attends ton prochain cadeau !